Olympus
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 Liam, Callixte Cadym [ u.c. ]

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Liam C. Cadym
Liam C. Cadym




Messages : 29
Date d'inscription : 09/08/2010
Localisation : Quelque part en Nouvelle-Zélande, sur une superficie de 268 680 km². (Viens m'chercher si tu peux)

Olympus Card
Maison: Perséphone
Profession: /
Caractère:

Liam, Callixte Cadym [ u.c. ] Vide
MessageSujet: Liam, Callixte Cadym [ u.c. ]   Liam, Callixte Cadym [ u.c. ] EmptyLun 9 Aoû - 17:10



Liam, Callixte Cadym [ u.c. ] Benbar10
© ???
........................Liam, Callixte Cadym........................

17 ans, né le 5 Décembre à Exeter, Angleterre
Sang Pur
Britannique ; né en Angleterre


........................Liam, Callixte Cadym........................
Liam, Callixte Cadym [ u.c. ] Benbar11
© jadedgraphics


      Knowledge is everything........................
      « Olympus & moi, c'est une histoire de coeur...ou pas... »

    Maison ; Perséphone
    Année; 7ème année
    Moyenne scolaire; 75/100. Tu n'aimes pas trop travailler, tu n'apprends rien, en fait. Tu as seulement une excellente mémoire, et tu es cultivé. Si seulement tu te donnais un peu la peine d'apprendre, tu serais probablement l'un des meilleurs... Mais tu n'aimes pas ça, non, et tu n'as désormais plus que hâte de finir tes études. Il y a des périodes de fréquence plus ou moins forte : tu maintiens ta moyenne, puis parfois tu plonges, tu descends, tu t'écrases à 70, 60, 55... Tes professeurs ne comprennent pas ; toi tu sais que tu es juste lunatique et rêveur, et que jamais tu ne seras studieux.
    Domaine d'apprentissage; Tu répartis ton poids en capacités sur toutes les matières, mais la divination et la botanique te font gravement chuter. Tu considères la divination comme intéressante mais superflue. Si on ne connaissait pas notre destinée, nous ne ferions rien pour l'éviter, et ainsi la réaliser. Car après tout, si les parents d'Oedipe n'avaient pas su qu'il tuerait son père et épouserait sa mère une fois grand, ils n'auraient pas chercher à le tuer, et donc n'auraient rien fait qui enclenchât la prophétie. N'ai-je pas raison ? Quant à la botanique... Que dire ? tu es un littéraire ; tu as horreur des parfums exhalés par les plantes, des cris des Mandragores et du terreau sur tes doigts fins et pâles d'aristocrate.

    Tu aimes beaucoup les potions et les cours de Défenses contre les forces du Mal, mais ce que tu préfères par-dessus tout, c'est l'Histoire. Non pas que le professeur soit intéressant, mais tu aimes connaître le Passé, et n'est-ce pas toi qui répète toujours « Qui sommes-nous, sinon les histoires qu'on transmet ? » ? Tu aimes contourner du doigt les empruntes que d'autres sorciers avant toi ont laissées dans le sable. C'est comme une passion, ça ne s'explique pas.

    Ancienne École et Maison (si Poudlard) ; Ancien Serdaigle, à Poudlard. Pourquoi Serdaigle ? Tu ne l'as jamais compris. Peut-on dire que tu es sage, dans le sens de la sagesse ? Je ne crois pas, non. Tu es plus sage, tranquille, que sage, mâture. Tu es seulement silencieux et réfléchi. Solitaire. Comme tu aimais la salle commune des Serdaigle, érigée parmi les fondations archaïques de Poudlard. Tu connaissais son parc et sa bibliothèque par cœur, et plus que tout, tu aimais te balader sur les rives du lac, visage exposé à l'air vif et cinglant du paysage de l'Angleterre. Tu aimais le froid, oui. Et par-dessus tout, sentir les gouttes d'un crachin inattendu naître sur ton front, vivre le long de ta joue convexe, et mourir sur tes lèvres. Comme une douche qui affranchirait et délaverait ce monde de toutes ses misères. Nostalgie laconique.

    Que pensez-vous de la création d'Olympus ? ; Tu restes nostalgique, oui, quant au Poudlard tant chéri. Mais tu n'es pas contre la création d'Olympus non plus. Elle te permet de voir de nouvelles têtes, d'entendre de nouvelles voix, de scruter leur attitude à parler pair ou impair, et pourquoi ne pas repartir sur de bonnes bases ? Mais il restera toujours un vide, des regrets. Tu étais tellement attaché à Poudlard... Olympus est trop neuf, trop lustré, trop luxueux, trop brillant pour toi. Et la maison dans laquelle tu as été envoyé te fait peur : tu y trouves des élèves tristes, mélancoliques... Ils sont un peu comme toi, même si, pour la plupart, ils ont fait face à des morts familiales et prématurées, aux ravages des Mangemorts... Tu fais anomalie, toi, monstre, avec la perte physique de ta sœur, de l'amour de ta vie. Il faut se rendre à l'évidence : tu n'as jamais été fait pour pénétrer dans le moule. Alors tu reprends tes habitudes, ces longues heures à flâner dans la bibliothèque, à traîner des pieds dans le parc, ou à t'asseoir sur le rebord d'une fenêtre, dans la volière... comme si rien n'avait changé.

      Who knows who I am........................
      « il y a des choses qu'on préfère ne pas révéler… »

    Famille;

    Audrey & Josua Cadym : Tes parents. Tu les aimes d'un tendre amour légitime. Ils sont simples, chaleureux, accueillants. Tu les adores, en fait. Ils ont toujours été là pour toi, et tu leur voues une grande admiration, si ce n'est pas de la confiance. Tu leur es redevable, tu le sais, et cela dépasse largement la simple dette. Ils t'ont donné la vie, ils t'ont donné une âme sœur, et rien que pour ça, tu n'auras jamais assez d'une vie pour les remercier comme il se doit. Malgré l'entière confiance que tu as en eux, depuis quelques temps, tu les fuis. Tu les évites. Parfois même tu ne veux pas rentrer chez toi pour les vacances. Tu n'oses plus les regarder en face. Le moindre contact avec eux te tue, parce que tu sais que tu t'es déjà trop attaché, et que tu ne devrais pas. Vois le résultat avec Gabriella.

    Gabriella A. Cadym : Comment la définir ? Elle est ta jumelle, ton âme sœur, l'amour de ta vie, et plus que ta moitié, tes trois quarts. Elle représente tout, simplement. Tu ne pourras jamais adorer quelqu'un plus qu'elle. Tu n'es plus rien. Tu as tout perdu. Elle n'est plus là, alors il n'y a plus rien, car elle était tout pour toi. Elle était la rosée du matin, la foudre et le ciel ; le vent, les mélodies qui berçaient le temps, les doigts doux et fins avec lesquels ont été cousus tes rêves. Elle était celle qui donnait un sens à ta vie. L'amour que tu lui portes... c'est à te rendre fou.

    Elle te manque tellement...
    À quel point aimerais-tu le lui dire ? Il n'y a pas assez de soleil pour elle, aujourd'hui. Tu la regrettes, comme on regrette une personne disparue.
    Tu n'as pas oublié ces moments où tu criais la joie étale qui inondait ton cœur*, quand tu ne savais pas ce que c'était, que tu ne connaissais rien. Elle t'a tout appris. L'indulgence, l'amour ; le bonheur et l'extase – la beauté. Elle t'a appris à vivre. Elle avait cette capacité à embellir la chose la plus laide du monde ; puis elle quittait la pièce, et la lumière qui l'incendiait s'évaporait avec elle.

    Aujourd'hui, la pièce est vide, froide. Noire. Triste. Tu es claustré dans un clair-obscur inexistant, celui de tes pensées. Tu ne vois plus rien, tu es aveugle ; mort. Elle t'a délaissé, laissé tomber, disparu, oublié, envolé. Tu n'arrives pas à lui en vouloir. Tu ne veux que son bonheur. « Que son bonheur. » Tu aimerais croire que tu représentes encore quelque chose, pour elle, mais ce serait te mentir, te faire plus de mal encore. Ce serait inutile. Alors tu continues de l'aimer de loin, sans équivoque. Comme un langoureux amant oublié.

    Caractère; L'être humain est une chose bien étrange, en vérité. Il a ses vices et ses vertus, ses défauts et ses qualités ; ses débauches comme ses apogées. Alors que dire d'un être qui n'est pas qu'humain ? un sorcier, pourquoi pas. Il est 100 fois pire. Toi, c'est différent. Tu n'éprouves plus rien, sinon de la tristesse. Tu ne ressens plus rien, sinon la douleur. Tu n'est plus qu'une coquille vide. Tu es mort. Il fut un temps où tu étais parfait, oui. Avant que Gabriella ne sorte de ta vie, ne t'abandonne, pendant les premières années à Poudlard vous avez vécu ensemble, tu n'aurais pu être plus parfait encore. Tu avais alors atteint un niveau d'excellence inégalable. À ce moment-là, tu étais radieux.

    Un essaim de contradictions et d'imprévisions, peut-être, immuables et inconstantes. Toi, tu paraissais si frêle et si chétif, mais il n'en était rien. Liam, ce nom si court, si rond, aux accents qui sifflent comme un serpent, synonyme de dynamisme et d'entêtement. Tu étais quelqu'un qui suivait sa route en fonction de chacune de ses impulsions, frétille et prospère ; quelqu'un qui en voulait et ne renoncerait jamais ; quelqu'un qui n'aimait pas avoir tort et préférait grandir et s'affirmer sans se faire de cadeau. Que tu étais fier.

    La frivolité, chez toi était pire qu'un défaut – une maladie pernicieuse, à l'instar d'une fièvre, d'un prurit irréfrénable ; une chose qui te boufferait en partant du plus profond de toi-même si tu ne faisais pas attention. Tu étais toujours gai, toujours souriant. Tu riais de tout. Avec toi on aurait dit que la vie n'était qu'une pièce de théâtre. Ah. C'est drôle. Car oui, la vie est une pièce de théâtre : ce qui compte, ce n'est pas qu'elle dure longtemps, c'est qu'elle soit bien jouée*. Mais la jouais-tu bien, cette vie ? Oui : avant, tu l'enjolivais, tu la faisais danser – elle prenait des airs de courtisane. Tout était poésie, dans ta vie. Tout était beau, tout était bien. Blanc. Et puis, maintenant, tu prends la vie comme une sale fille de joie, et tu en abuses, vous êtes trois sur une même pute, pourquoi pas.

    Tu étais sûr de toi, même trop ; tu n'aimais pas perdre. Tu étais rongé par l'orgueil, démon intérieur qui te poussait à ne pas supporter l'idée de ne pas être premier. Tu as toujours été premier. Premier dans tout. En cours, dans le succès, dans les travées ; le premier rôle. Jamais second. Ou si tu as déjà été second, tu t'es rattrapé le fois suivante pour être premier afin de soigner ton orgueil, démon intérieur, démon insatiable, qui en veut toujours plus, au point d'être jaloux de toi-même et de t'en demander plus que tu n'en étais capable. Pire que toi. Ce n'était pas toi.

    Compréhensif et laxiste : c'était ce qu'il y avait de plus vrai chez toi, car à présent tu es faux. On t'appréciait pour ces qualités innées chez toi, ton charisme naturel et toute la bonté qui se dégageait de tout ton être ; surtout toute cette humilité que tu t'appliquais à faire plier. Tu étais bon public, on te sollicitait pour applaudir. Tu aimais ; peut-être même trop. À la manière de ton orgueil ou de ta frivolité, cet amour, qui semblait n'être qu'une qualité, était sans doute trop vivant chez toi pour te garantir bonheur et prospérité. Tout chez toi doit être mort, tu dois être mort. Tu es mort. Disparu. Avalé, déchiqueté par les le label de ta vie. Lunatique, tu étais comme la météo, imprévisible, trop changeant ; parfois trop décevant, souvent d'un rayonnement extatique et doux. On t'aimait, car tu apportais le bonheur partout où tu allais. Tu étais alors capable d'embellir la chose la plus laide du monde. Ton parfum de soleil. Magnifique. Tu donnais son éclat à l'or. Tu divertissais, tu jouais avec le vent ; on te demandait pour oublier les tracas.

    Défauts édulcorés, ton caractère était un fidèle ersatz de l'aménité à l'apogée. Ce qui pouvait te faire le plus de mal aurait sans doute été de voir tes proches souffrir – leur faire de la peine toi-même ? ça t'aurait tué. Mais tu étais déjà mort. La confiance, chez toi, c'était dans les gènes, pourtant, tu n'aurais dû plus te fier qu'à toi-même : lorsque tu accordais ta confiance, tu étais profondément déçu par les événements, inconstants et incongrus. Bien fait. Tu l'avais cherché. Mais c'est comme ça, ce sentiment te venait naturellement, à la manière d'un réflexe ; c'est comme le vélo, ça ne s'oublie pas. Tu es bête. Petit sorcier. Tu n'aurais pas dû. Reviens, reviens sur Terre, et bouffe le sol comme tu aurais dû le faire. Pas de confiance. Personne ne te relève. Mais voilà, te relever, tu le faisais toi-même, et tu t'étonnais improprement.

    Tu étais quelqu'un de très admirateur, qui aimait féliciter plus que de raison. Le moindre geste de gentillesse, même infinitésimal, tu le percevais, et le percevais bien. Rêveur, tu aimais à t'abandonner dans tes mondes intimes. Peut-être est-ce pour cela que tu aurais donné ta vie à ce que tu as de plus utopique : faseyer, planer, créer, t'oublier, te retirer, loin, si loin, léger, éthéré, farouche, comme le vent, comme l'éternité qui te coule entre les doigts et dans le creux de ton cou, aux phalanges de la torture – l'archétype de l'enfant qui rejette le calme et l'ordre et refuse de grandir.

    Tu attaquais la vie à pleines dents, comme une pomme interdite. Fais attention. Adam était aussi con que toi, et Ève te suivra. Le serpent sifflait depuis trop longtemps entre les arbres. Et toi, tu mordais, tu mordais la vie, tu la bouffais, tu la rongeais, tu t'en délectais, tu t'humectais les babines, ta bouche écumait de bave et de jus. Sang. Rouge. Sale sorcier. C'est la vie, pas le paradis.

    Oui, mais penses-tu que tu étais aussi heureux que tu ne le laissais paraître ? Ce sourire était-il vraiment franc et honnête ?
    N'était-ce pas plutôt un masque de scène enfilé pour jouer un nô irrévérencieux et blessant ? Cette carapace que tu t'étais forgée de douceurs, de peinture jaspée, de musique et d'amour, n'était-elle pas plutôt éphémère, tel un papillon, que tu écrases la nuit contre le mur, comme un moustique ?

    Comme du maquillage qui coule, coule, s'efface lentement, se déforme avec la pluie...?
    Sûrement pas. C'est seulement maintenant que la vie s'arrête. À présent, tu es brisé ; tu te déchires de l'intérieur depuis que ta sœur t'a oublié. Pourtant, tu aimerais bien, oui, retrouver les morceaux de ton cœur grossièrement rafistolé à coups de Scotch, et les réunir de nouveau, pour y trouver une entente, comme les cinq doigts de la main. Et que le beau temps vienne après l'orage. Tu te rappelles, car tu ne sais qu'une prière.

    À la réalité, cela fait longtemps que tu as appris à enterrer ton cœur.
    La peinture s'écaille. Tu ne peux pendant très longtemps te montrer un visage à toi-même et en présenter un autre au reste du monde sans finir par t'y perdre et te demander lequel des deux est le vrai. C'est malheureux, chez toi. Comme si tu savais. Comme si ça t'intéressait. Sale vampire.

    Tout te passe au-dessus de la tête. Ce qui arrive est grave, mais c'est rien, pour toi, tu t'en fous, et tu continues de piétiner le sol en attendant que la guerre passe. Tu connais le pouvoir de tout et chacun, leurs limites, et tu restes intelligent même si tu es devenu un mort-vivant apathique – oui ou non ? Alors tu ruses. Tes pensées sont comme un flot de larmes ; impossible à contenir. Elles grouillent, fusent dans tous les sens, depuis tous les coins, et dévorent le moindre espace de vide qui subsiste dans ta tête. Tu as l'impression qu'un million de Liam réfléchissent pour toi, à l'intérieur de toi. C'est insupportable. Tu ne peux t'arrêter de penser. Et tes souvenirs, tes idées, tes songes grouillent, pullulent, et te dévorent la chair. C'est invivable ; tu ne peux plus supporter un tel essaim, un tel ras-de-marée de pensées.

    Tu aimerais exprimer ta rage, mais tu ne peux pas : souviens-toi de ce jour où tu es mort. Plus rien ne t'importe, désormais. Ton cadavre se promène seul ; toi tu t'es perdu en chemin. Tu n'es plus rien, tu n'existes plus. Tu es mort.

    « 6. Quel chiffe propre et rond, comme tu l'exècres*. Il ne te rappelle rien, sinon de mauvais souvenirs que tu cherches depuis si longtemps à inhumer. 6, pour toi, c'est le nombre du malheur, le chiffre du Diable. Tout ce qu'il y a de plus mauvais et d'indécent se rapporte à 6, surtout le désespoir glacé, sépulcral, qui filtre des éclairages indirects*. Il y a 6 ans, c'est le jour où tout a perdu de son éclat, où le soleil s'est éteint, où la vie t'as tourné le dos.

    Le jour où tu es mort. »

    Et puis il y a elle. C'est comme si elle portait le seul amour, qui saurait te guider pour faire enfin d'elle la femme que tu attendais, celle qui révèlerait cet homme qui vit si fort en toi*.

    Tu n'es plus rien. Tu as tout perdu. Elle n'est plus là, alors il n'y a plus rien, car elle était tout pour toi. Elle était la rosée du matin, la foudre et le ciel ; le vent, les mélodies qui berçaient le temps, les doigts doux et fins avec lesquels ont été cousus tes rêves. Elle était celle qui donnait un sens à ta vie, et à l'éternité. Elle était ta vie, et plus que ta moitié, tes trois quarts.

    Elle donnait son éclat à l'or. Même le soleil pâlissait, quand elle était là. Elle était ton astre – elle illuminait tes journées, elle illuminait ta vie. Elle donnait sa saveur à la moindre particule qui faisait ton bonheur. Et ton bonheur, que vaut-il si elle n'est pas là ? Il devient insipide – il ne veut plus rien dire. Il n'a plus d'intérêt, il n'existe plus. Parti. Disparu, envolé, haché avec elle. Et quand elle t'a délaissé, les nerfs de ton cadavre se sont rependus dans son sillage.

    Il y a une douleur ; tu lui en veux de t'avoir rendu heureux au moins quelques années. Si elle n'avait pas existé, tu aurais été triste toute ta vie, et tu n'aurais pas senti la différence – jamais. Mais voilà, tu as eu la malchance, non pas d'être malheureux, mais de devenir malheureux. Parce qu'elle était un tout, et toi tu n'étais rien ; tu ne seras jamais rien que du rien. Vide. Parce qu'elle ne fait plus partie de ta vie. Pourtant, tu sais qu'elle vit toujours. Elle vit à travers le temps, à travers tes larmes, dans tes mémoires ; elle vit en toi. Elle est présente dans ta tristesse, ta douleur, elle demeure dans tes rêves éveillés, ta léthargie éternelle. Elle est ton apathie-même, elle reste le signet qui marque le jour où tu es mort. Tu la vois vivre et sourire juste là, juste à côté, mais elle ne rit plus pour toi, avec toi.

    Un simulacre de sourire. Et tu continues de l'aimer sans équivoque.
    À cet instant, tu cesses de croire en Dieu.

    Tu ne veux pas oublier. Le jour où elle t'a délaissé, une telle douleur a fusé en toi qui t'a changé du tout au tout. Toi, tu aurais voulu qu'elle te prenne par la main, et changer d'air avec elle. Entrer dans la même maison qu'elle, rester son frère, son âme sœur à jamais. Mais c'est comme ça ; c'est la vie, pas le paradis. Que tu as été bête de croire qu'elle t'aimait plus que tout, toi, son jumeau.

    À présent, si l'on devait te définir en un mot, il serait simple, si rarement entendu : fou. On le chuchote dans ton dos, on le murmure à ton oreille. Pourtant, c'est faux ! Tu n'es pas fou. Tu n'as pas perdu la raison. Tu es tout à fait lucide. Tu es seulement solitaire. Silencieux, hésitant, discret ; tu possèdes la présence d'un zéphyr : éthéré, farouche, ils n'ont pas à essayer de t'attraper, tu leur fileras entre les doigts. Tu n'as pas ton pareil pour plomber l'ambiance, même si tu ne dis rien, même si tu restes dans ton coin, sage, seul ; hanté – un souvenir de toi-même.

    Tu ne dis jamais rien, ne protestes pas ; te soumet. Tu te laisses emporter par la foulée, goutte de pluie dans l'océan, une ombre, une veloute de fumée, glissante, inéluctable. Si qui que ce soit a eu ne serait-ce qu'un bref contact avec toi, qu'il a murmuré des choses interdites que tu as entendues, alors il est marqué, qu'il se méfie, tu ne l'oublieras jamais.
    On te prend pour un fou, on te dit infréquentable. Mais c'est encore faux. Tu laisses de mauvaises impressions ; tu es seulement timide, d'une timidité maladive, et solitaire. Tu aimes le silence, n'avoir que toi à comprendre. Personne pour te juger, te parler te tirer de tes réflexions. On voit que tu penses. Beaucoup.

    Tu es tellement silencieux que tu as beau être assis, là, dans ton coin depuis des heures, on ne t'a pas remarqué. Alors tu écoutes, tu écoutes les conversations qui fusent de tous côtés, les banales comme les interdites. Tu sais des choses que jamais tu n'aurais voulu savoir. Tu te retrouves au cœur d'intrigues sans le vouloir. Tu en sais trop. Alors tu ne dis rien et tentes de vivre ainsi.
    On ne te remarque pas. Tu n'es qu'ombre. Et puis, comment un névrosé pourrait-il retenir quoi que ce soit qui ait un sens ?

    Même après plusieurs heures, ton ombre et ton parfum planent encore, consistance de raki, de musc et de poison, et, si on ne t'a jamais rencontré, eh bien, on n'a jamais vraiment eu peur.

    Une catastrophe, un mauvais souvenir, une hantise, un cauchemar, une hypocondrie, un mâtin...

    Un poison.

    Oui mais... est-ce vrai ? Es-tu seulement VRAIMENT ainsi...?
    Il y a-t-il quelqu'un, derrière cet homme brun qui se reflète dans le miroir ? Es-tu véritablement solitaire et brisé, sous cette crinière d'ébène ? Il y a-t-il une âme, sous cet enchevêtrement de mélancolie, de beauté, de tentation et d'arzel ?

    Peut-être bien que oui. Peut n'est-ce qu'est un masque de scène enfilé pour jouer un nô irrévérencieux et blessant.
    Oui, mais alors... qu'il y a-t-il, derrière ce masque...? Es-tu donc si près de te briser en mille morceaux, émaillé ?

    Certains camarades que tu connais depuis toujours essaient de te tirer de la solitude dans laquelle tu te traînes lamentablement, mais ça ne marche pas, tu vois, ça ne marche pas. Tu as trop peur de toi, des autres. Tu préfères continuer de contempler ton ombre. On te dit bizarre, étrange. Tu fais peur, parfois. Si seulement ils savaient que tu caches une nature sensible, romantique... parfaite. Ils te croient tous fou, dingue, déraisonné.

    Et tu te feins au jeu, inhumain de l'être*.

    « Parla più piano, e nessuno sentira. »
    Parle plus doucement, et personne n'entendra.

    Orientation sexuelle; C'est si compliqué... Qui es-tu, d'abord, toi ? Hein ? Tu ne sais pas ? Eh bien, commence par te demander qui tu es et qui tu aimes avant de te questionner sur ce que tu préfères. Tu es influençable ; trop influençable. Tu es perdu, tu ne sais pas ce que tu veux. Homme ; femme – quelle importance, après tout ? Ce qui compte, c'est l'âme, la personnalité. Qu'importe que ce soit XX ou XY. Tes sentiments sont trop puissants pour que tu puisses te contrôler – tu te laisses entièrement dominer par le premier ou la première qui parvient à te plaire, qui ne prend pas compte du fait que tu n'es qu'une coquille vide.
    Animagus; {Voir dans le réglement.}


      why am i so… original........................
      « auras-tu le courage de tout lire ? »

    Histoire;

    « Vous étiez faits l'un pour l'autre.

    C'était tellement évident, vous étiez nés ensemble, vous avez fait vos premiers pas, dit vos premiers mots ensemble. Tu vois, votre amour est originel, légitime et génétique, comme inné. Vous avez toujours été deux, ensemble – partout, en tout. On ne vous imaginait pas l'un sans l'autre. Il n'y avait pas de mots pour décrire ce que vous représentiez pour vous-mêmes. Vous étiez si connivents, si soudés, si... parfaits...! Vous formiez un tout, et tu aimais cette entente, comme les cinq doigts de la main. On peut dire que vous étiez liés, enchaînés, oui, que c'était comme ça. Indiscutablement. Inéluctablement. Elle était plus que ta moitié : tes trois quarts. Tu l'aimais sans équivoque.

    Votre relation était très fusionnelle, voire ambiguë. Vous étiez dépendants l'un de l'autre – vous ne pouviez faire un pas sans que l'un soit aux côtés de l'autre, d'avoir peur de vous perdre. Comme vous étiez attentionnés, semblables, souriants et rêveurs, pleins de candeur ; légers, éthérés, farouches, comme le vent. Vous aviez trouvé l'âme sœur, et cette âme sœur était là depuis le début. Vous vous connaissiez par cœur, plus et mieux que quiconque. Vous vous aimiez tellement que c'était évident – vous seriez toujours ensemble, unis. À jamais.

    Comme il est pathétique de se rappeler combien vos illusions étaient dérisoires... »

    Vous verrez comme Poudlard est agréable, les jumeaux !
    44 lettres, 8 mots. C'est bon.
    C'est tellement beau, vous n'imaginez pas!
    36 lettres, 6 mots. Ouf. Bien.
    Les professeurs y sont si gentils et passionnants...
    49 lettres, 8 mots. C'est pas passé loin.
    D'autant plus que vous serez toujours ensemble.
    39 lettres, 7 mots. Aïe.

    Tu entreprends de te ronger les ongles de nervosité. Ça ne va pas. Pas du tout.
    C'est le 4 septembre, aujourd'hui ; c'est un jour pair. Donc, tout doit être pair, sinon ça ne va pas, rien ne va plus ; tout devient faux, car tout est impair et donc bouscule le merveilleux ordre régissant l'univers. Les chiffres parlent d'eux-mêmes. Si c'est jour pair et que les gens parlent en impair, et vice-versa, alors ils mentent. Et puis, pair, c'est la perfection, l'emboîtement, l'ordre et la chance : puisque les jumeaux représentent la complétion et qu'ils sont deux ! C'est comme ça, c'est ainsi.
    « Quelle catastrophe. »

    Tu tournes la tête et ton regard croise celui de ta sœur, Gabriella. Fusion. Choc électrique. Deux rixes qui se heurtent de plein fouet, improbables, contraires, comme le feu et la glace. Pourtant, ils se fondent aisément l'un dans l'autre, comme si tout était bien et naturel, à sa place, définit. Elle te sourit alors, de ce sourire habituel, fraternel et plein d'amour qu'elle ne réserve qu'à toi. Tu souris à ton tour, avec insouciance.
    Tes sourires sont rares, et tous sont destinés à Gabriella, ton âme sœur, ta moitié, ta jumelle. Il n'y a qu'elle à qui tu oses les adresser, montrer un peu de faiblesse ; ce bonheur humain que tu quêtes. Soudain, un sifflement rauque retentit sur la voie 9 3/4. Tu sursautes. Agitation. Chaos. Ta tête bouge avec véhémence tandis que tu cherches à localiser la porte la plus proche. Gaby t'a pris la main. Vous embrassez alors vos parents avec ferveur, puis vous dirigez vers un wagon en courant. Ta lourde valise te bat les jambes et la hanche, freinant tes mouvements et rendant la course plus difficile. Vous soufflez avec célérité puis montez difficilement le marchepied du Poudlard Express en traînant vos lourdes valises qui exhalent une forte odeur de cuir renfermé derrière vous.

    4 marches. Tu souris en levant les yeux vers le ciel. Tout va bien.
    ______________________

    « Vous verrez comme Poudlard est agréable, les jumeaux ! »
    Tu descends le marchepied avec difficulté, les yeux encore bouffis de sommeil. Tu t'étires discrètement, et tes doigts gourds effleurent la robe rêche de Gabriella, qui te suit de près. Tu te retournes et elle te prend la main. Tu es l'aîné des deux, pourtant, c'est toi qui as le plus besoin de réconfort. Tu es trop intimidé, tu n'aimes pas l'inconnu. Tu trembles de peur et ton estomac se noue rien qu'à l'idée de devoir passer des examens, ou quelque chose du goût, pour entrer dans l'une des quatre Maisons. Gryffondor, Serdaigle, Poufsouffle et Serpentard. Votre père a fait ses études à Durmstrang, et votre mère est une Moldue. Ni l'un ni l'autre n'ont donc pu vous préparer à ce qui vous attend. Tu trembles. Tu n'y connais rien en magie. Tu as grandi avec trop d'insouciance. Quel imbécile. Comment vas-tu faire ?

    Un silhouette titanesque se dresse au milieu du quai, une lanterne à la main. Les contours de son épaisse barbe crépue sont visibles à cette triste lueur. Tous les nouveaux-venus à Poudlard se rassemblent autour de l'immense masse comme un essaim d'abeille. Silence. Seulement des chuchotements dans le vent.
    Je m'appelle Hagrid, dit la silhouette d'une grosse voix chaleureuse et mal assurée.
    Tu devines qu'il est comme toi, renfermé, d'une timidité maladive. Il compatit au trac qui vous habite tous, pourtant, ce dont tu es incapable. Tu es centré sur toi et la main moite de Gabriella dans la tienne.
    Euh... nous allons vers le lac pour embarquer dans des... barques qui nous conduiront jusqu'à Poudlard, poursuit le titan. Je vous demanderai donc de ne pas crier si vous voyez quelque chose avec trois doigts effleurer la surface de l'eau, et de ne pas vous pencher par-dessus la boiserie : le Calmar géant n'est pas toujours d'humeur à vous repêcher. Maintenant, allons-y !


    Le glissement des barques sur l'eau fluide est à peine audible. En réalité, le silence est si absolu que tu te crois sourd. La tension est palpable. Tu enfouis ta tête dans les bras de Gabriella. Tu sens son cœur battre la chamade contre tes tempes. Elle irradie la chaleur. Alors, tu te mets à somnoler, bercé par le rythme de son cœur qui bat à l'unisson avec le tien. Tu t'assoupis. Tu ne vois pas le temps passer. Tu es réveillé en sursaut par la grosse voix d'Hagrid qui tonne avec maladresse dans le silence du lac.
    Nous y voilà. Poudlard, les enfants ; votre nouvelle école !

    « C'est tellement beau, vous n'imaginez pas ! »
    C'est une grande bâtisse faite de pierres grises poncées. Elle a une étrange consistance de château à l'abandon ou, pire, de manoir qui n'en est que lugubre apanage. Il y a des fenêtres, certes, mais les grandes portes en bois qui servent d'entrée principale ne disent pas le contraire. Mais se fier aux apparences ne sert en rien : ce château a beau ressembler au Chambord de Dracula, l'intérieur est, parait-il, des plus luxueux. Vous touchez terre. À droite, une grande forêt luxuriante, dont la taille des arbres est plus qu'impressionnante, s'étend à perte de vue. À gauche, une brève prairie dont l'herbe légèrement gelée témoigne du froid ambiant et, plus loin, se perdant dans la brume éthérée et blafarde, d'interminables chaînes de montagnes.

    Par ici !
    Vous vous rassemblez, compacts, et suivez votre géant de guide. Tu ne lâches pas Gabriella. Tu te cramponnes à elle comme si elle était ton essence-même. Vous entrez alors les uns après les autres par une immense porte en bois solide. Le géant Hagrid y frappe avec puissance. La porte s'ouvre immédiatement.

    Une femme a l'air pincé, maigre, grande et imposante, au visage autoritaire, se tient dans l'encadrement.
    Professeur McGonagall, voici les élèves de première année, annonce Hagrid.
    « Les professeurs y sont si gentils et passionnants... »
    Merci, Hagrid, dit la sorcière. Je m'en occupe.

    Le hall d'entrée du château est si grand qu'une maison toute entière pourrait y tenir aisément et le plafond si haut qu'on n'arrive pas à l'apercevoir. Des torches enflammées sont fixées aux murs de pierre, et un escalier de marbre permet de monter dans les étages.
    Guidé par le professeur McGonagall, vous traversez l'immense salle au sol subtilement dallé et entrez dans une petite salle apparemment réservée aux premières années. Du silence jusque là persistant s'élèvent des voix, qui te parviennent de derrière une porte, quelque part sur ta gauche. Des rumeurs, des éclats de voix étouffées. Les élèves plus âgés sont certainement déjà arrivés. L'exiguïté des lieux vous oblige à vous serrez les uns contre les autres, et à attendre la suite, debout, en silence, parmi la chaleur suffocante de vos corps compressés.

    Bienvenue à Poudlard, chers élèves, dit le professeur McGonagall après s'être élevée sur une estrade. Le banquet de début d'année va bientôt commencer mais avant que vous ne preniez place dans la Grande Salle, vous allez être répartis dans les différentes maisons. Cette répartition demeure une cérémonie très importante. Vous devez savoir, en effet, que tout au long de votre séjour à l'école, votre maison sera pour vous comme une seconde famille. Vous y suivrez les mêmes cours, vous y dormirez dans le même dortoir et vous passerez votre temps libre dans la même salle commune. Les maisons sont au nombre de quatre. Elles ont pour nom Gryffondor, Poufsouffle, Serdaigle et Serpentard. Chaque maison a sa propre histoire, sa propre noblesse, et chacun d'elles a formé au cours des ans des sorciers et sorcières de premier plan. Pendant votre année à Poudlard, chaque fois que vous obtiendrez de bons résultats, vous rapporterez des points à votre maison, mais chaque fois que vous enfreindrez les règles, votre maison perdra des points. À la fin de l'année scolaire, la maison qui aura obtenu le plus de points gagnera la coupe des Quatre Maisons, ce qui constitue un très grand honneur. J'espère que chacun et chacune d'entre vous aura à cœur de bien servir sa maison, quelle qu'elle soit. La Cérémonie de la Répartition aura lieu dans quelques minutes. Je reviendrai vous chercher lorsque tout sera prêt, acheva la sorcière. Attendez-moi en silence.*
    Sur ces paroles, McGonagall quitta la salle.

    Vous montez des escaliers à n'en plus finir. Tu ne regardes rien de ce qu'il y a autour de toi, tu crois que tu vas vomir, tant tu es anxieux. Ta gorge est sèche, nouée. Des hauts-le-cœur te prennent par surprise. Les couleurs se mêlent en un maelström d'incohérences et de couleur disparates – rouge, bleu, violet, jaune. Enfin, vous vous arrêtez sur un palier, entre deux escaliers, devant d'immenses portes, plus grandes encore que tu n'en as jamais vues.

    Vous faîtes comme on vous l'a ordonné, tranquillement, sagement, sans faire de vagues. Vous êtes tous trop anxieux, cloués sur place, pour oser le moindre débordement. Une longue file se forme alors dans le corridor, et vous entrez les uns à la suite des autres dans la Grande Salle.
    En voyant le spectacle qui s'offre à toi, tu as le souffle coupé. Comment décrire ce que tu as devant toi...?

    Une salle spacieuse, immense. Colorée – ocre et bronze. Un millésime d'étoiles brillant de mille feux dans un ciel outremer s'étend à la place du plafond et se reflète dans les dalles lustrées du sol. De grandes tables sont alignées en quatre colonne perpendiculaires, dont les bancs usées sont occupés par des élèves de tout âge et de toute nationalité vous dévisageant. Des bougies flottent le long des murs, éclairant d'une lueur aveuglante les teintures représentant les quatre Maisons, qui s'alignent contre les parois. En face, tout au bout de la salle, loin, si loin, se dresse une grande table, où des professeurs sont assis. Ils se sont levés pour vous accueillir, vous, les nouveaux-venus.

    Le professeur McGonagall vous aligne face à vos camarades derrières lesquels se tiennent les professeurs. On vous observe, la lueur incertaine des bougies vacillant sur les visages aux reflets nacrés. Tu respires alors de plus en plus difficilement. Le souffle te manque. Il fait chaud, si chaud... La main de Gabriella ne te suffit plus. Tu aimerais te serrer contre son cœur pour apaiser ta peur, mais tu n'oses pas. Elle ne ressent pas la besoin de te rassurer. À la vue de son regard fasciné, émerveillé, et du sourire flamboyant qu'elle t'adresse, tu devines que ce n'est pas le moment. Tu reportes ton attention sur ce qui se passe devant. McGonagall installe un tabouret à quatre pieds devant vous. Sur le tabouret, elle pose un chapeau pointu de sorcier. Le chapeau est râpé, sale, rapiécé. De toute évidence, il a fait son temps. Mais où sont-ils donc allés le chercher ?

    Tout le monde, à présent, a les yeux rivés sur le chapeau. Silence total, silence de mort. Silence si absolu que tu te crois sourd. Puis, tout à coup, le chapeau remue. Oui, oui, il remue ! Une déchirure, tout près du bord, s'ouvre en grand, comme une bouche. Tu t'attends à en voir sortir un lapin, mais le chapeau se met à chanter :

      « Je n'suis pas d'une beauté suprême
      Mais faut pas s'fier à ce qu'on voit
      Je veux bien me manger moi-même
      Si vous trouvez plus malin qu'moi.
      Les huats-d'forme, les chapeaux splendides
      Font pâl'figure auprès de moi
      Car à Poudlard, quand je décide,
      Chacun se soumet à mon choix.
      Rien ne m'échapp'rien ne m'arrête
      Le Choixpeau a toujours raison
      Mettez-moi donc sur votre tête
      Pour connaître votre maison.
      Si vous allez à Gryffondor
      Vous rejoindrez les courageux,
      Les plus hardis et les plus forts
      Sont rassemblés en ce haut lieu.
      Si à Poufsouffle vous allez,
      Comme eux vous s'rez juste et loyal
      Ceux de Poufsouffle aiment travailler
      Et leur patience est proverbiale.
      Si vous êtes sage et réfléchi
      Serdaigle vous accueillera peut-être
      Là-bas, ce sont des érudits
      Qui ont envie de tout connaître.
      Vous finirez à Serpentard
      Si vous êtes plutôt malin,
      Car ceux-là sont de vrais roublards
      Qui parviennent toujours à leurs fins.
      Sur ta tête pose-moi un instant
      Et n'aie pas peur, reste serein
      Tu seras en de bonnes mains
      Car je suis un chapeau pensant !
      »

    Ovation intarissable. Comme si ce que ce... cette... chose vient de dire était parole d'Evangile. Le chapeau s'incline pour saluer les quatre tables, puis s'immobilise à nouveau. C'est simple. Clair. Concis. Il suffit de porter le chapeau. Pas de combat avec un troll en perspective. Ni de sorts à lancer. Encore moins d'examens de résistance et de QI. Malgré tout, tu te sens mal-à-l'aise de devoir faire ce geste puéril, simple, devant tout le monde. Un peu comme si tu essayais des vêtements dans une cabine d'essayage sans rideau...

    Le professeur McGonagall s'avance, munie d'un rouleau de parchemin, qu'elle déplie.
    Quand j'appellerai votre nom, vous mettrez le chapeau sur votre tête et vous vous assiérez sur le tabouret. Je commence : Abbot, Hanna !
    5 et 5 lettres. 10 lettres. Mon Dieu.
    L'élève interpelée – une fillette aux nattes blondes – sort du rang d'un pas mal assuré et s'assied sur le tabouret en mettant le chapeau sur sa tête, qui lui tombe devant les yeux.
    POUFSOUFFLE ! crie le chapeau après un bref silence.
    11 lettres. Oups.
    Une ovation grandiose s'élève de la table à droite, qu'Hanna Abbot va rejoindre en soufflant violemment après avoir remis le Choixpeau à sa place.
    Bones, Susan !
    5 et 5 lettres. 10 lettres. Seigneur. Encore.
    POUFSOUFFLE ! crie à nouveau le chapeau.
    11 lettres. Grands dieux.
    Et Susan se hâte d'aller s'asseoir avec Hanna, sa nouvelle amie.
    Boot, Terry ! appelle le professeur McGonagall.
    4 et 5 lettres. 9 lettres. Mer du nord.
    SERDAIGLE ! crie le chapeau magique.
    9 lettres. Jésus Christ.
    Cette fois-ci, les applaudissements s'élèvent de la table à gauche. Les élèves de Serdaigle accueillent Terry Boot en lui serrant la main.
    Et la cérémonie se poursuit, le trac te nouant le ventre. Des milliers de papillons voltigent dans ton estomac, faisant trembler tes jambes. B. Bientôt C. Bientôt.
    Cadym, Gabriella !
    5 et 9 lettres. 14 lettres. Ouf.
    Mais... mais... Qu'est-ce qu'elle fait ?! Elle te lâche la main ! Tu te cramponnes à elle comme un noyé à la proue de son bateau.
    Ne t'inquiète pas. On se retrouve tout à l'heure, te souffle-t-elle en déposant un baiser sur ta joue de ses charnues et douces lèvres d'enfant.
    37 lettres, 9 mots. Aïe.

    Lorsqu'elle court vers le tabouret et dépose le chapeau sur son crâne, tu réalises que tout le monde vous fixe. Ils ont compris. Des jumeaux. Parfaits. Inséparables. Ils ne s'inquiètent pas : les jumeaux tombent toujours dans la même maison.
    « D'autant plus que vous serez toujours ensemble. »
    Le chapeau s'agite, se trémousse sur les boucles blondes de Gabriella. L'anxiété te ronge l'estomac.
    « D'autant plus que vous serez toujours ensemble. »
    Il grommelle vaguement quelque chose. Ton verdict, vite, ton verdict, stupide chapeau !
    GRYFFONDOR !
    Grande ovation. Immense ovation. Paroxysme de la fierté. Premier Gryffondor de la soirée. Gaby court à sa table, non sans t'adresser un langoureux regard.
    Cadym, Liam !
    5 et 4 lettres. 9 lettres. Malheur.
    « D'autant plus que vous serez toujours ensemble. »

    Tu t'avances lentement vers le tabouret. Retarder l'échéance. Le plus possible. On te lance des regards compatissants. Ne t'inquiète pas, gamin. Tu vas la retrouver, ta sœur, va. Vous êtes jumeaux, après tout. Sois tranquille. « D'autant plus que vous serez toujours ensemble. » La peur te broie les côtes. Tu aimerais t'allonger, par terre, et mourir, là, tout de suite. Pour ne pas avoir conscience de perdre Gabriella. Si tu la perds.

    Tu saisis le chapeau, t'assieds sur le tabouret, et enfonces l'étoffe sur ton crâne. Tout oublier. Ne plus voir personne. Le noir se fait lorsque le Choixpeau te tombe devant les yeux.
    « D'autant plus que vous serez toujours ensemble. »

    L'objet s'agite, comme s'il s'éveillait. Une voix aigre de vieux te susurre à l'oreille.
    Mmh, qui voilà ? Un autre Cadym ? Le frère jumeau de cette petite Gabriella ? Comme c'est intéressant... Des jumeaux ! Deux âmes sœurs ! Elle est très bien, cette petite Gaby. Jolie, intelligente, des valeurs sûres, pleine de gaité, amoureuses de la vie, charmante, constante... Elle est presque parfaite, dis-moi ! Et c'est ta jumelle. Pourtant, vous semblez tellement... tellement... différents... Oui, tellement différents ! J'en ai vu passer, des jumeaux, crois-moi, et pourtant, je n'en ai jamais vus d'aussi contradictoires que ta sœur et toi. Elle, sociale, joviale, et toi, mystérieux, solitaire, un peu mélancolique... Vous ne vous ressemblez pas, non, pas du tout. Vous êtes tellement différents.
    « D'autant plus que vous serez toujours ensemble. »
    « Gryffondor ; par pitié, envoyez-moi à Gryffondor. »
    Qu'entends-je ? Gryffondor, dis-tu ? Je suis désolé, jeune Liam, mais... vous êtes si différents... Littéralement... contraires ! C'est un luxe que je ne puis t'accorder dans le cas présent. Je regrette réellement. Peut-être me pardonneras-tu un jour. SERDAIGLE !
    La sentence résonne dans toute la salle et te vrille les tympans. Ta tête va éclater.

    « D'autant plus que vous serez toujours ensemble. »

    Non. Non ! Non, non, NON !!

    Tu soulèves le chapeau avec des gestes lents et précis. Gracieux. Apathiques. Tu crois bien que ton cœur vient de tomber tout au fond de ton estomac. Non. Non, impossible. Ce n'est pas possible. Tu ne peux pas être séparé d'elle !

    « D'autant plus que vous serez toujours ensemble. »

    Tu reposes le chapeau sur le tabouret et t'avances en direction de la table des Serdaigles, où ceux-ci applaudissent poliment. Ils ont l'expression consternée des âmes en peine. Lorsque les garçons te serrent la main, que les filles déposent un baiser sur ta joue ronde, c'est avec la déférence qu'on utilise pour faire ses condoléances. Ils n'en reviennent pas. Toi non plus. Ils savent combien c'est difficile. Tout au fond d'eux, ils le sentent, ils sentent cet amour qui vous unit ; ils savent que c'est sacrilège, de vous séparer. Non. Non, impossible.

    « D'autant plus que vous serez toujours ensemble. »

    Un regard en arrière pour Gabriella. Ta sœur, ta jumelle, ta moitié, ton âme sœur. Tes yeux croisent les siens. Ce que tu y vois dépasse largement la douleur. On dit qu'il n'y a qu'un pas entre la sagesse et la folie. Toi tu viens de le franchir, ce pas. C'est à perdre la tête. Demain matin, tu ne te réveilleras pas à son côté. Tu n'auras même pas le plaisir de déposer un baiser sur sa joue au petit déjeuner, ni le bonheur de la serrer contre ton cœur le soir pour lui souhaiter bonne nuit. Vous ne passerez plus vos journées ensemble. Vous ne vous verrez que très rarement, dans la Grande Salle, aux deux heures de cours par semaine que vous aurez en commun. Tu ne partageras plus sa vie, elle ne fera plus physiquement partie de la tienne.

    Quelque chose, en toi, se brise.

    « D'autant plus que vous serez toujours ensemble. »

    Mon Dieu, faîtes que ce ne soit qu'un rêve. Mais ce n'en est pas un. Tu es condamné à rester assis sur ce banc maudit, et enlacer ta jumelle des yeux, ce prurit inaccessible, loin, si loin, comme l'horizon de la mer. Comme si cela pouvait lui donner un sens.

    Comme si cela pouvait rendre votre étreinte réelle.

    « D'autant plus que vous serez toujours ensemble. »
    39 lettres, 7 mots. Maudits soient les nombres.



    Tu ne peux rien avaler de tout le dîner. Malgré le festin qui s'offre à toi, plus rien n'a de saveur. Tout est dénué de goût. Les conversations fusent, on te demande ton nom ; tu réponds mécaniquement. Les autres [maison] ont laissé une place libre à côté de toi, par simple respect ; c'est symbolique – ils savent qu'il n'est pas bon d'empiéter sur cette place qu'occupe ta jumelle dans ta vie, cette place qui sera toujours sienne. Ils compatissent ; ils compatissent tellement que ça t'exaspère. Ils ne peuvent pas comprendre la peine qui t'habite, non, ils ne peuvent pas. Ils n'ont pas de jumelle, eux ! Ils n'ont pas été séparés de leur âme sœur, leur complément, leur moitié... Un énième regard en arrière pour Gabriella. Tes yeux s'attardent un instant sur les plis de sa robe tracés par ses omoplates saillantes. Elle se tient droite, roide, poings crispés sur ses cuisses. Ses boucles teck traînent dans son dos, et c'est tout ce que tu peux voir, de ce qui fait sa personnalité, de ce qui fait qu'elle est unique et irremplaçable.

    Y a-t-il un monde plus cruel que celui-ci qui nous oblige à quitter ceux qu'on aime le plus ?
    ______________________

    Tu ôtes ta capuche et t'ébroues comme un animal. Les gouttes fusent de tes longs cheveux acajou comme des flèches pour aller s'écraser dans le néant de l'entrée. 3e jour de cours à Poudlard. Plus horrible encore que tu ne l'imaginais. Comme s'il te manquait quelque chose. Un vide subsiste. Tu te retrouves subitement seul. Plus de sœur à qui te confier. Plus de jumelle avec qui demeurer. Plus d'âme sœur, plus de moitié. Rien qu'un vide, un vide immense, pesant, qui te troue la poitrine et l'estomac. Notion concrète, plus que jamais. C'est un vide insatiable, qui te tend les bras comme pour te dévorer. Absence qui te fait grincer des dents, fermer les yeux pour ne pas te rappeler de la douleur flagrante, lancinante qu'elle te cause.

    Tu ne veux pas te mêler aux autres. Tu ne veux pas faire connaissance avec eux. Ça ne t'intéresse pas de savoir leurs noms. Ils ne seront toujours que des inconnus à ton cœur fendu en deux, quels qu'ils soient, qu'importe les noms qu'ils portent. Ce sont des êtres humains. Tous des êtres humains. Uniques... comme tout le monde. Tous les mêmes. Ressemblant vaguement à Adam ou Ève. Pourquoi tenter vainement de les rendre uniques, spéciaux, alors qu'un seul être mérite ton attention ? Cet être qui n'est plus à ta portée. Qu'on t'a arraché. Je ne pourrais retranscrire ici la violence de la douleur qui t'habite ; ne serait-ce que la nommer. Le lien tranché est tout simplement indescriptible. C'est un amour unique qui vous unit, un amour dont on ne parle pas, dont on ne dit rien, de crainte de ne pas user des bons mots. De peur d'annihiler sa magie.

    Tu ne peux t'empêcher de te questionner à propos de Gabriella. Comment va-t-elle ? Que fait-elle ? À qui parle-t-elle ? Comment se débrouille-t-elle dans l'univers dans lequel elle vient d'atterrir ? S'est-elle fait des amis ? Qu'a-t-elle dit depuis son arrivée ? Ressent-elle le même vide qui te ronge, ce besoin inconditionnel de l'avoir avec toi ? À quoi pense-t-elle ? Et surtout, surtout, que fait-elle, mais que fait-elle donc ?

    Parle-t-elle de toi autour d'elle, à ses amis ? Comment prononce-t-elle ton nom ? Que ressent-elle lorsqu'elle t'évoque ?

    Comme tu te sens seul, si seul, sans sa présence à tes côtés, et vide, tellement vide. Solitaire, avec pour seuls amis l'anxiété, l'anxiété profonde, et l'agacement ; l'agacement, l'amertume d'être tenu loin d'elle. Bien sûr, on t'occupe ; cours, danger, escaliers, labyrinthes de couloirs, mais ça ne suffit pas, non, ça ne suffit pas pour que tu l'oublies. Tu penses à elle de jour comme de nuit – c'est ton obsession. Tu hais cette école, oh oui, comme tu la hais, de t'avoir séparé de ta jumelle pour le bon plaisir d'un chapeau parlant pourri, dans un geste de fatalité. Ils auraient pu faire une exception, non ? Envoyer Gabriella, ta moitié, à Gryffondor, revient à t'y envoyer toi, sa moitié à elle, n'est-ce pas ? Tout aurait pu être simple, si simple sans cette foutue répartition qui ne sert à rien, absolument rien, si ce n'est qu'à ranger ton nom bien propret dans un tiroir.

    Tu traverses l'entrée à pas lents et mesurés, puis prends une cadence plus vive pour monter les escaliers. Les questions, les interrogations, les inquiétudes, les réserves, les doutes fusent dans ta tête, comme un flot de larmes, et se mêlent en un maelström de problèmes inextricables. N'y a-t-il donc aucune solution pour te guérir de cette perte ou – mieux – retrouver Gabriella ? Est-il possible que le Choixpeau revienne sur sa décision ? qu'un élève change de maison en cours d'année ? Et si l'élève en question fait une crise apoplectique, à force d'être tenu éloigné de sa sœur, hein ? Les professeurs seront bien obligés de le mettre dans la même maison pour éviter le renouvellement de ce genre d'accident – non ? Non ?

    Les brèves heures où tu la vois ne te suffisent plus, et pourtant, il va falloir t'en contenter. Ce n'est pas ton choix, ce n'est pas le sien, non ; c'est celui d'un vieux chapeau rapiécé respecté par un tout aussi vieux sorcier qui, lui, t'a conseillé – presque sommé ! – de la laisser un peu en paix. Tu te remémores avec réserve ta discussion de la veille, avec le professeur Dumbledore. Un grand et auguste personnage, oui, et une éventuelle conversation avec lui t'aurait réjoui, pour être témoin, seul témoin, unique témoin de sa sagesse et n'en être que plus admiratif.

    Relations (amoureuses, amicales, liens); {à traiter SI PERSONNAGE VACANT, en 10 lignes minimum}

      just something stupid........................
      « des détails indispensables… »


    Animal de compagnie; Un animal de compagnie ? Pourquoi faire ? C'est bruyant, ça pue, et ça vous bouffe tout votre temps. Probablement la seule chose qui soit capable de tirer Liam de sa léthargie et de le faire sortir de ses gonds.
    Baguette Magique; 28,5cm, bois d'if, contient des nerfs de cœur de dragon.

    Avatar; Ben Barnes
    Pourquoi cet avatar; J'aime sa beauté, sa gestuelle, et la mélancolie que cet acteur est capable d'exprimer. Ses expressions faciales, surtout. Et puis bon... c'est physiquement mon homologue, à ce qu'il paraît x) Et donc je le prends dès qu'il est libre.
    Poste vacant; [ ] Oui ~ [x] Non


      that's a secret i never tell........................
      « inutile de nous mentir, nous finirons par le savoir… »

    Prénom ou pseudo; Charles. Comme Charles Beaudelaire, Charles de Gaulle, Charles Hugo, Charles Laclos, Ray Charles et Charles Dickens. Chacha pour les intimes. Ça va ? Tu veux pas mon numéro de téléphone, aussi ?
    Âge; À quoi bon ? Ça change tous les ans, vous savez.
    Que penses-tu D'Olympus; Ben, si, justement, tout est parfait. >< Rien à dire, il faudrait juste davantage de liens de redirection sur la page d'accueil... Ah, et corriger les petites fautes d'ortho qui se baladent, aussi. Autrement, sachez que je suis bluffé et déjà groupie.
    Qu'est-ce qui t'as motivé à t'inscrire; Le contexte, voyons ! Et également les membres, qui, d'après leurs histoires et caractères, offrent un large éventail de choix pour d'éventuelles intrigues rp... C'est bon ? J'ai été assez convaincant ?
    Niveau de RPG;
    Spoiler:

    Fréquence de connexion;
    5/7
    Multicomptes; Pas encore x)
    Mot de passe;
    Spoiler:


Dernière édition par Liam C. Cadym le Ven 24 Sep - 12:11, édité 59 fois
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MessageSujet: Re: Liam, Callixte Cadym [ u.c. ]   Liam, Callixte Cadym [ u.c. ] EmptyLun 9 Aoû - 17:17

Bienvenue encore une fois à toi.
Si tu as besoin d'un post en plus je supprimerai celui-ci !
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MessageSujet: Re: Liam, Callixte Cadym [ u.c. ]   Liam, Callixte Cadym [ u.c. ] EmptyLun 9 Aoû - 17:29

Hanw bienvenue *Q*
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MessageSujet: Re: Liam, Callixte Cadym [ u.c. ]   Liam, Callixte Cadym [ u.c. ] EmptyLun 9 Aoû - 17:51

Merci à vous deux pour votre accueil *-*
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MessageSujet: Re: Liam, Callixte Cadym [ u.c. ]   Liam, Callixte Cadym [ u.c. ] EmptyLun 9 Aoû - 17:52

Il n'y a pas de quoi. On est tellement heureuse d'avoir quelqu'un d'autre parmi nous.
Personnellement je perdais tout espoir.
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MessageSujet: Re: Liam, Callixte Cadym [ u.c. ]   Liam, Callixte Cadym [ u.c. ] EmptyLun 9 Aoû - 18:43

Moi je perdais pas espoir, mais quand même xD
En tout cas, ne nous lâche pas hein ? Razz
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MessageSujet: Re: Liam, Callixte Cadym [ u.c. ]   Liam, Callixte Cadym [ u.c. ] EmptyLun 9 Aoû - 18:53

Sacha E. Wenkins a écrit:
En tout cas, ne nous lâche pas hein ? Razz
Surtout pas !! Je vous lâcherai tellement pas, d'ailleurs, que vous finirez par me trouver insupportable et me jeter à la porte What a Face
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MessageSujet: Re: Liam, Callixte Cadym [ u.c. ]   Liam, Callixte Cadym [ u.c. ] EmptyLun 9 Aoû - 18:54

Pas de risque, j'adore les membres qui s'accrochent 8D
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Matt Walsdorf
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MessageSujet: Re: Liam, Callixte Cadym [ u.c. ]   Liam, Callixte Cadym [ u.c. ] EmptyLun 9 Aoû - 18:55

Je ne compte pas te virer ! Surtout si j'ai le droit à ma photo.
(C'est trop tard si tu arrive pas, tu vas m'avoir à tes basques toute ton existence sur ce forum !!)
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MessageSujet: Re: Liam, Callixte Cadym [ u.c. ]   Liam, Callixte Cadym [ u.c. ] EmptyLun 9 Aoû - 19:04

Sacha E. Wenkins a écrit:
Pas de risque, j'adore les membres qui s'accrochent 8D
Ça tombe bien, alors, parce que je serai ton préféré pendant longtemps ~ ♥

Matt Walsdorf a écrit:
Je ne compte pas te virer ! Surtout si j'ai le droit à ma photo.
(C'est trop tard si tu arrive pas, tu vas m'avoir à tes basques toute ton existence sur ce forum !!)
Et après tu t'étonnes que les membres désertent, SADIQUE !!! Comment je vais faire, mais comment je vais faire ? *suce son pouce*
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Sacha E. Wenkins
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MessageSujet: Re: Liam, Callixte Cadym [ u.c. ]   Liam, Callixte Cadym [ u.c. ] EmptyLun 9 Aoû - 19:09

Naan, Matt sous son regard de.. je sais pas quoi (regarde son avatar xD) et un petit ange ♥️
//ZBAAAFF//

En tout cas, si les jeunes filles un peu.. déglingué, ne te gène pas, je serais ta préférer aussi Very Happy
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Matt Walsdorf
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MessageSujet: Re: Liam, Callixte Cadym [ u.c. ]   Liam, Callixte Cadym [ u.c. ] EmptyLun 9 Aoû - 19:10

En faite, t'es mal barré avec nous je crois !
C'est pas ma faute s'ils ont déserté. J'ai toujours répondu à mes RPs !!
C'est un ange, je suis un ange, je ne suis pas Sadique !! *un petit peu je crois, mais chut on ne peut pas lire.*
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MessageSujet: Re: Liam, Callixte Cadym [ u.c. ]   Liam, Callixte Cadym [ u.c. ] EmptyLun 9 Aoû - 19:18

Sacha E. Wenkins a écrit:
En tout cas, si les jeunes filles un peu.. déglingué, ne te gène pas, je serais ta préférer aussi Very Happy
Voyons, je suis un mâââle ; j'aime les jeunes filles de toute façon, quelles qu'elles soient ! //BRIQUE//
D'accord, alors je compte sur toi pour me prouver que t'es digne d'être ma préférée What a Face

Matt Walsdorf a écrit:
En faite, t'es mal barré avec nous je crois !
Je crois aussi. *envisage un suicide potentiel*

Matt Walsdorf a écrit:
C'est pas ma faute s'ils ont déserté. J'ai toujours répondu à mes RPs !!
C'est un ange, je suis un ange, je ne suis pas Sadique !! *un petit peu je crois, mais chut on ne peut pas lire.*
Nan mais en fait, tu comprends, tu me fais peur. >< *Où est l'issue de secours ?*
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MessageSujet: Re: Liam, Callixte Cadym [ u.c. ]   Liam, Callixte Cadym [ u.c. ] EmptyLun 9 Aoû - 19:21

Il n'y a pas d'issu de secours, ça n'existe pas. Et interdiction au suicide. C'est formel et écrit dans le réglement. (Tu as du encore le loupé en lisant ! ^^)
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MessageSujet: Re: Liam, Callixte Cadym [ u.c. ]   Liam, Callixte Cadym [ u.c. ] EmptyLun 9 Aoû - 19:25

Ah, non, cette fois, j'ai eu l'œil propre !!
Mais c'était seulement... hum... une idééééyy, dans le cas échéaaant tu voâââs, rien de bien concreeeyy...
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Sacha E. Wenkins
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MessageSujet: Re: Liam, Callixte Cadym [ u.c. ]   Liam, Callixte Cadym [ u.c. ] EmptyLun 9 Aoû - 19:40

xD
Nan, tu te suicide pas éè
Sinon, je viens te hanter dans ta mort //ZBAAFF//

Toi aussi, tu dois te montrer digne d'être mon préférer Razz
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MessageSujet: Re: Liam, Callixte Cadym [ u.c. ]   Liam, Callixte Cadym [ u.c. ] EmptyLun 9 Aoû - 19:44

Toi aussi, tu me fais peur >< En fait, c'est à cause de TOI que les membres ont déserté ! SATANIQUE !!! //ZZBAAFF//

Sacha E. Wenkins a écrit:
Toi aussi, tu dois te montrer digne d'être mon préférer Razz
Attends, ça se voit pas que je m'accroche ? Je viens de stimuler deux pages de flood Razz Ok, c'est pas bien... *se fouette*
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Sacha E. Wenkins
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MessageSujet: Re: Liam, Callixte Cadym [ u.c. ]   Liam, Callixte Cadym [ u.c. ] EmptyLun 9 Aoû - 20:04

J'avoue que sur ce coup là, on fait pas de bonne admin Matt..
xD
Mais faut nous comprendre, on est tellement heureux d'avoir enfin des membres Razz

Et naan, d'abord, moi je suis un ange n'aussi ! Et puis avant qu'ils débarrassent le planché, j'étais même pas dans le staff, alors je pouvais pas leurs faire peur 8D
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MessageSujet: Re: Liam, Callixte Cadym [ u.c. ]   Liam, Callixte Cadym [ u.c. ] EmptyLun 9 Aoû - 20:07

C'est tout de ma faute c'est tout.
On a le droit de flooder car tu es notre premier membre qui est venu sans savoir comment, enfin pas grace à une de nous !! Du moins, je crois !!
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MessageSujet: Re: Liam, Callixte Cadym [ u.c. ]   Liam, Callixte Cadym [ u.c. ] EmptyLun 9 Aoû - 20:12

Attendez, c'est pas drôle si vous êtes tous les deux des anges !! ><
................................................... J'peux faire le méchant ? What a Face

Matt Walsdorf a écrit:
On a le droit de flooder car tu es notre premier membre qui est venu sans savoir comment, enfin pas grace à une de nous !! Du moins, je crois !!
Baaaah... disons que c'est grâce à ma curiosité maladive cat
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MessageSujet: Re: Liam, Callixte Cadym [ u.c. ]   Liam, Callixte Cadym [ u.c. ] EmptyLun 9 Aoû - 20:17

Moi je dis, VIVE TA CURIOSITÉ MALADIVE !

Voui,. tu peux faire le méchant Razz
Mais pas trop trop méchant hein, sinon, tu seras plus mon préférer xD
Ou ben tu fait le méchant, mais pas avec moi

* sort *
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MessageSujet: Re: Liam, Callixte Cadym [ u.c. ]   Liam, Callixte Cadym [ u.c. ] EmptyLun 9 Aoû - 20:19

Tu as le droit de faire le méchant !
Mon pauvre Matt n'est pas un ange, en plus !!
J'aime ta curiosité !! et j'en ai marre de la PA
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MessageSujet: Re: Liam, Callixte Cadym [ u.c. ]   Liam, Callixte Cadym [ u.c. ] EmptyLun 9 Aoû - 20:38

Pour une fois que la curiosité est une qualité What a Face

Sacha E. Wenkins a écrit:
Mais pas trop trop méchant hein, sinon, tu seras plus mon préférer xD
Ou ben tu fait le méchant, mais pas avec moi
Euuh... c'est une question piège ? >< *se remet en question* Bon, d'accord, je suis le gentil .____. Qu'est-ce que je ferais pas pour une fille bounce

Matt Walsdorf a écrit:
J'aime ta curiosité !! et j'en ai marre de la PA
De mon côté, ça marche à merveille What a Face LÀ j'ai le droit de me venter : quel beau gosse je suis Cool
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MessageSujet: Re: Liam, Callixte Cadym [ u.c. ]   Liam, Callixte Cadym [ u.c. ] EmptyLun 9 Aoû - 20:42

J'ai de la crème pour les chevilles qui enflent, tu en veux ?
xD
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MessageSujet: Re: Liam, Callixte Cadym [ u.c. ]   Liam, Callixte Cadym [ u.c. ] EmptyLun 9 Aoû - 20:42

Oui tu peux te venter cher esclave !!
Je t'aurtorise à te venter jusqu'à la fin de ta présentation.
Après on verra !
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MessageSujet: Re: Liam, Callixte Cadym [ u.c. ]   Liam, Callixte Cadym [ u.c. ] Empty

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